« Coup d’Etat raté à Kinshasa, Malusha confond le ministère public,
les experts du « CNS » fuient le procès », titre Scoop RDC dans son édition du 10 décembre 2024. Le journal a cité plusieurs fois les experts du Conseil National de Sécurité « CNS » à la place des experts du Conseil national de cyberdéfense « CNC ». Le « CNS » est dirigé par le Conseiller Spécial du Chef de l’Etat en matière de sécurité, le Professeur Jean louis Esambo alors que le « CNC » qui est partie prenante au procès du coup d’Etat manqué est dirigé  par un Coordonnateur, Jean Claude Bukasa. Le CNS a un département de cybersécurité qui n’est pas le « CNC ».

« Superviseur de la résidence Shulungu où logeait Jean-Jacques Wondo, sieur Malusha a, dans sa déposition, déchargé totalement ce dernier présenté comme le “concepteur” et “auteur intellectuel” de ce “coup d’État manqué”. Et par cette décharge, celui qui été utilisé par le ministère public comme élément clé de condamnation de JJ Wondo, a confondu l’organe de la loi ainsi que les experts du Conseil national de sécurité (CNS), notamment du département de Cyberdéfense requis par le tribunal qui, selon les avocats de la défense, avaient fait un montage honteux des fausses preuves pour faire condamner leur client » a développé dans ses lignes le journal avant d’ajouter « Alors qu’ils étaient attendus au procès le vendredi, les experts du CNC ne se sont pas présentés. Même à l’audience de lundi 09 décembre où ils étaient invités à comparaitre, ils ont brillé par l’absence. Ce qui a poussé la Cour à renvoyer la cause à vendredi 13 décembre prochain pour la confrontation de Malusha aux experts du CNC et aux agents des télécommunications. Au cas où ils ne viendraient toujours pas, la Cour va passer outre »

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